Le PRP

Qui n’a jamais ressenti un pincement au cœur en découvrant des cheveux sur l’oreiller ou dans la douche ? Ces moments peuvent susciter des inquiétudes, mais avant de crier à la catastrophe capillaire, il est essentiel de comprendre ce qui constitue une perte normale.

Sachez que perdre entre 50 et 100 cheveux par jour est tout à fait naturel. Ce chiffre peut sembler élevé, mais rapporté aux 150 000 cheveux que compte en moyenne une chevelure, c’est une fraction minime.

Pour mieux appréhender ce phénomène, plongeons dans les méandres du cycle capillaire et explorons les facteurs qui peuvent influencer la santé de votre tignasse.

Les différents visages de la chute capillaire :

Le cycle de vie fascinant du cheveu

Chaque cheveu suit un parcours en trois actes :

      1. La phase anagène : C’est l’heure de gloire du cheveu, sa période de croissance qui s’étale sur 2 à 6 ans. Chaque jour, il s’allonge d’environ 0,3 mm.

      1. La phase catagène : Une brève transition de deux semaines où la croissance ralentit et le follicule se rétracte.

      1. La phase télogène : Le cheveu entre en dormance pendant 2 à 3 mois avant de quitter le cuir chevelu, laissant la place à un successeur.

     

    Les facteurs qui peuvent accentuer la chute

    Bien que la perte soit naturelle, certains éléments peuvent l’exacerber :

     

    Comment évaluer sa perte capillaire ?

    Bien qu’il soit tentant de compter chaque cheveu perdu, cette méthode n’est pas vraiment pratique au quotidien. La meilleure approche est de consulter un expert en santé capillaire, qui pourra effectuer un diagnostic précis et personnalisé.

    Les solutions pour contrer la chute

    Si la perte devient préoccupante, plusieurs options s’offrent à vous :

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